lundi 30 août 2010

La voix des dragons, de Didier Quesne

J'ai relu ce livre ces derniers jours, car j'aime relire les livres quand je ne me souviens plus de l'enchainement des actions. Ainsi je le redécouvre en savourant mes moments préférés. Une très bonne combinaison je trouve.

Enfin bon, tout ça pour dire que je me suis retrouvée de nouveau à suivre Vigie Watcher. Pour ceux et celles qui ne connaissent pas voici le résumé de l'éditeur :

"Lorsque Guivre se réveille avec le désir impérieux de manger de la viande, il ne fait que suivre la voix intérieure qui lui promet un avenir stupéfait. Le contenu de son réfrigérateur n'y suffit pas, il sait que c'est ailleurs qu'il trouvera la viande nécessaire pour débuter sa lente transformation...Vigie Watcher sent au plus profond d'elle-même que l'humanité va disparaître au détriment d'une espèce beaucoup plus sanguinaire. Elle fait partie d'une caste puissante, les vigilants, qui sont là pour arrêter l'éveil des dragons. Mais comment faire ? l'éveil des dragons est proche, et comme il y a deux cents ans dans le château de Lilith de la Queyrie, ils revêtiront d'abord forme humaine, ou animale."

Me voilà donc replongée dans l'univers des dragons. J'aime ces créatures, puissantes et fabuleuses, alors j'ai tendance à apprécier un livre qui sait les rendre incomparables. Peut être que c'est mon vieux rêve de voler qui ressort quand je partage leurs aventures. Tout ça pour dire que je ne peux pas être objective avec un livre traitant des dragons. Mais je vais faire de mieux.

L'histoire est intéressante à différents points de vue. Déjà parce quelle place l'action principale à Lyon, et ça c'est pas courant. Et puis, sans spoilier (ça va pas être simple), l'auteur aime brouiller les pistes et créer des personnages en demi-teinte : ni tout blancs, ni tout noirs. L'histoire est elle alors, elle aussi, en demi-teinte et évolue au fil des choix des personnages. Certains éléments qui la composent sont assez évidents, mais on ne peut pas vraiment dire que la fin est évidente. Ce qui donne une impression de réalisme dans les décisions et choix des protagonistes.

Au niveau des personnages, c'est surtout Vigie qui marque. C'est une femme qui ne comprend pas ce qui se passe en elle, ni l'évolution de son caractère. Elle a une rage, une colère, qui bout constamment en elle et elle a du mal à la contenir. Mais on la sent perdue car, finalement, elle se bat pour trouver sa place dans tout ça.

Enfin le style est simple mais efficace. Il est dynamique et colle bien à l'action. Il permet également de développer ses personnages.

Que dire de plus ? Ah oui, apparemment il existe un préquel à cette histoire, intitulé Dragonne, mais vu que c'est une ancienne édition, je doute de pouvoir un jour mettre la main dessus.

lundi 23 août 2010

Hamlet et Othello, de Shakespeare



Pendant mes vacances, j'ai lu, non pas une, mais deux tragédies du maître Shakespeare. La première, et non la moindre, fut Hamlet. Et comme le livre contenait aussi Othello, et bin j'ai enchainé sur cette deuxième.

Hamlet, tout d'abord, n'est pas simple à lire. Je pense que c'est dû à la fois à la pièce en elle-même mais aussi à la traduction.
Mais parlons de l'histoire. Hamlet est le prince héritier du Danemark mais, à la mort de son père, voit son oncle prendre le trône et se marier quelques mois plus tard avec sa mère. Le spectre de son père vient alors hanté les murailles de la ville et finit par délivrer son message à Hamlet : il doit venger sa mort car il fût empoisonné par l'oncle. A partir de là, Hamlet est déchiré entre son devoir (venger son père) et son incapacité à le faire. Il semble alors qu'il perd la tête et devient fou. Mais peut être qu'il joue seulement la folie ?
Comme je le disais, ce ne fût pas simple à lire et à comprendre. Hamlet est écrit en prose mais on retrouve une certaine musicalité dans le texte. Shakespeare est un maître des mots, à n'en pas douter. Je comprend que cette pièce est étudiée régulièrement car rien n'est simple à la première lecture. Les personnages sont complexes, profonds et ont parfois des réactions... inattendues. On comprend leurs sentiments mais parfois il est difficile de comprendre leur réactions. J'avais la chance d'avoir des clés
de lecture dans le livre, car elles m'ont permis de comprendre un peu mieux cette pièce. En résumé je suis contente de l'avoir lu, car j'ai comblé un manque dans ma culture. Le dramaturge est vraiment un génie, et Hamlet un must de la tragédie. Ah, et un dernier détail : la scène du "Etre ou ne pas être ..." ne comporte pas de crâne, c'est une autre scène qui voit Hamlet se poser des questions métaphysique en tenant un cr
âne. Comment on est arrivé à faire cet amalgame ?

Othello fût plus simple à saisir, peut être est-ce dû au changement de traducteur. Othello est le More de Venise, à l'origine inconnue. Mais il devient vite général des armées de Chypre en charge de protéger l'île des envahisseurs turcs. Sur ordre du Doge, il part pour Chypre avec sa toute nouvelle épouse Desdémone. Malheureusement dans sa naïveté il fait toute confiance à Iago, son emblème, qui lui, hait Othello et cherche à se venger de lui. Vengeance qui d'ailleurs n'a pas lieu d'être. On trouve dans cette pièce des personnages emblématiques : Othello, le naif confiant, Desdémone, la douce amoureuse, et Iago, le traitre, le perfide, le manipulateur. Car, même si c'est Othello qui provoque la tragédie, c'est Iago le personnage central de cette pièce. Il manipule tout et tout le monde pour arriver à ses fins, et le spectateur assiste, impuissant, à la réussite de ses plans. En plus de la manipula
tion, l'oeuvre traite aussi le sujet du manque de communication, car tout le plan de Iago aurait été révélé en interrogeant les protagonistes.
Une pièce l'a encore très forte et très bien écrite. Je regrette juste de ne pouvoir lire Shakespeare en version originale.

En conclusion, ce sont deux très bonnes pièces qui ont marquées leur temps, et qui ont influencées les tragédies suivantes. Les personnages sont tous emblématiques et l'action est menée avec brio.

Hamlet faisant partis de mon Challenge Livraddict 2010, me voilà avec une oeuvre de plus lue !


6 + 3 / 10 +3 !

mercredi 11 août 2010

Point Challenge Livraddict 2010

Alors voilà, il y a quelques temps, je me suis engagée dans le Challenge Livraddict 2010, et j'ai comme qui dirait oublié de faire le point ... Oui je sais c'est mal et c'est pourquoi j'ai décidé de le faire maintenant !


Petit rappel : Je mettais engagée à lire 9 livres en plus de The Host que l'on m'avait offert. A l'heure actuelle, j'en ai lu 5 :

- Roméo et Juliette, de Shakespeare et j'en parle
- La grammaire est une chanson douce d'Eric Oresnna, et j'en parle
- Anita Blake, tome 1, de Laurell K. Hamilton (que j'ai vu au salon du livre de Paris d'ailleurs) et je l'évoque ici
- The Host de Stephenie Meyer et j'en parle
- Tara Duncan, tome 1 et j'ai complétement oublié d'en parler ... c'est mal va falloir que je le relise du coup (héhéhé la bonne excuse)

Mais en faisant le tour de le liste je me suis aperçue que j'en avais lu d'autres sans les avoir sélectionné. Du coup, j'ai aussi lu :

- Ma vie est toute à fait fascinante de Pénélope Bagieu
- Anita Blake tome 2 et 3 de Laurell K. Hamilton



Alors le compte est : 5+3 / 10+3

Va falloir que je m'active moi si je veux réussir ce challenge ....

Bit-lit chez Milady

Comme je vous l'avais dit il y a quelques temps, ces deux derniers mois je me suis faite une ventrée de Bit-lit chez Milady. Du coup, je dois avouer que j'ai presque toutes les séries publiées dans cette maison d'édition. Toutes ? Ouais bon peut être pas toutes, mais une bonne majorité de leur catalogue. Je me suis dite que je pouvais vous en faire profiter, et vous conseillez sur les séries à éviter, en faisant un tour d'horizon des titres.

Bon bin c'est parti !
La première étape fut La croix d'ossement, tome 4 de Mercy Thompson ! Ça faisait un moment que je l'attendais celui-là et je dois vous dire que je n'ai pas du tout été déçue ! On retrouve Mercy exactement là où on l'avait laissé, dans la scène finale du tome 3 extrêmement frustrante. Vous l'aurez compris, Mercy a enfin fait un choix, qui va bousculer pas mal de monde. Au niveau de l'intrigue en général, on refait une incursion dans le monde des vampires, mais on explore aussi celui des fantômes et un peu celui de la meute. Un tome assez global en somme, mais dont le rythme est toujours dynamique. En fait, il mêle avec justesse intrigue et développement des relations. En gros, Mercy Thompson reste ma série de Bit-lit préférée, et je reste émerveillée devant le talent de Patricia Briggs.

J'ai ensuite découvert la série d'Ilona Andrews la trilogie sur Kate Daniels. On y trouve un monde très original pour de la Bit-lit, avec une héroïne mercenaire qui navigue dans un monde basculant constamment entre magie et technologie. J'ai vraiment apprécié cette femme volontaire, qui s'en laisse pas compter, et qui fait tout pour protéger son secret. Un monde original donc, des personnages attachants, une histoire d'amour qu'on voit à 15 km (ouais mais c'est un peu toujours le cas dans la bit-lit), une écriture dynamique, et des petites perles d'ingéniosité font de cette série une autre perle de la collection Milady. Je la recommande sans aucun problème à tout le monde.

Dans mon tour de la bit-lit, j'ai trouvé la suite de Morsure, que j'ai déjà commenté : Capture. Livre que j'ai apprécié, moins lent que le premier, avec l'introduction de nouveaux personnages agrandissant le petit univers de La Meute. J'ai acheté cette suite car je voulais savoir comment s'installait la relation entre Eléna et Clayton. Mais ce tome est moins porté sur cette relation, et plus centré sur l'intrigue principale. Les autres membres de la meute ne sont d'ailleurs guère présents à par Jérémy. L'intrigue, quant à elle, est donc plus dynamique que celle du tome précédent et plus intéressante quelque part. Oui mais voilà, moi je voulais une œuvre pleinement centrée sur les loup-garous, du coup je n'ai même pas envie d'acheter la suite de cette série Les femmes de l'autremonde. Je me suis arrêtée là, et je vous préviens que dans les deux premiers tomes, il y a des scènes très détaillées interdite au moins de 18 ans.

J'ai continué mon exploration par les trois tomes de Jaz Parks; que l'on m'avaient décrites comme le "James Bond de la bit-lit". Effectivement c'est rempli de gadgets technologiques poussés. J'ai aimé cette série qui a sa propre mythologie. Bon d'accord, des vampires trainent dans les coins, mais il y a aussi des créatures sorties tous droits de l'imagination de l'auteur qui s'inspirent plus des anges et démons que des fées, loup-garous et autres métamorphes. J'ai également aimé cette héroïne avec ses TOC, ses problèmes de famille, et sa capacité à faire enragée son patron. De la même manière, un rythme très dynamique, mais bon je crois que le format de 400 pages de ces œuvres est fait pour. Au final, là encore une série vraiment sympa, que je conseille à tous et toutes.

Bon alors l'étape inévitable fut la série Anita Blake, enfin en poche, soit du tome 1 au tome 9. Série très addictive je vous préviens. J'aime ce petit bout de femme qui a la gâchette facile, la réplique cinglante encore plus, qui prend vite n'importe qui sous son aile, et qui finit par aimer et protéger ceux qu'elle haïssait. En effet, elle passe d'une farouche détermination à tuer le plus de vampires et autres monstres dans le tome 1 à en aimer certains, en protéger d'autres et les défendre dans tous les cas dans le tome 9. Cette transition, très singulière, ce fait tout naturellement tout au long des tomes, et les lecteurs s'attache de la même manières à Jean-Claude, Richard, Jason et autres Nathaniel. Quant au rythme, on l'a compris, c'est dynamique, mené à tambour battant, etc. Mais voilà, je ne vais pas le conseiller à tout le monde, d'un part parce qu'Anita à vraiment la gâchette facile et au fur et à mesure est prête à descendre n'importe qui, mais aussi parce qu'à partir du tome 6 il y a des scènes franchement érotiques. Bon, dans la bit-lit y a pire, et c'est la suite du tour.

Pour la suite donc je me suis arrêté sur les aventures de Riley Johnson, sans avoir lu le moindre avis dessus. J'ai mis un peu de temps à mis mettre, car déjà une héroïne mi-vampire mi-loup garou, j'avais du mal ; mais un jour je me suis dite pourquoi pas ? et j'ai acheté les deux tomes sortis. Bon j'aurai dû lire des avis dessus avant. Car cette série c'est que du cul, faut dire ce qui est. Peut être un peu moins dans le deuxième que dans le premier, mais quand même. Alors oui, il y a une intrigue générale qui s'étale sur plusieurs tomes, mais ça reste que du cul. Alors je vous le dit, passez votre chemin.

Je me suis également attaquée à la dernière série de Laurell K. Hamilton, Merry Gentry. On part au pays des fées cette fois, avec une héroïne que tout le monde veut tuer, ou manipuler, mais qui a suffisamment de jugeote pour faire trou, et s'acquérir quelques alliés. Là encore une héroïne au sacré caractère, des beaux mâles puissants, des complots, quelques scènes osées, et une héroïne plus puissante que l'on pensait.

Mon tour s'est fini avec une nouvelle venue Cassie Palmer, sortie récemment. Je dois dire que c'est sympathique, mais ça ne révolutionne pas le genre. Une jeune héroïne, médium et voyante de son état, élevé par des vampires, se cachant d'eux, est rattrapée par son passé. Le Sénat des vampires a besoin d'elle. Alors voilà, elle est manipulée par tout le monde, arrive à se sortir d'assassinats fomentés par plusieurs personnes et trouve même des réponses sur son passé. Ah oui là encore une scène très crue avec un vampire. Comme je vous le disais, ça ne révolutionne pas le genre.

En conclusion, la bit-lit c'est une héroïne forte et généralement plus puissante que prévu, des beaux mâles pas humains, des complots et des rebondissement à tout va, une histoire d'amour entre l'héroïne et le mâle le plus puissant, des univers parfois très originaux et des scènes de sexes distillées avec plus ou moins de talents. Alors lisez Mercy Thompson, lisez Kate Daniels, lisez Jaz Parks, et le reste sera en fonction de votre tolérance aux scènes érotiques.

Sur ce, faites votre choix et à bientôt, chers amis !

jeudi 5 août 2010

Aily the return ... with an Host

Tout d’abord je voudrais m’excuser de la toute petite activité de ce blog, mais je passe déjà 8 h sur l’ordi au boulot, alors le soir je n’ai pas vraiment envie de me remettre devant. Du coup toutes mes activités sur les forums sont mortes et je n’ai plus de contacts avec les gens formidables que j’ai rencontrés sur Livraddict. J’en suis vraiment désolée mais je dois avouer, et je ne pensais pas dire ça un jour mais : l’ordi je sature ! Même le week-end c’est vous dire ! Je l’allume juste pour regarder des films, n’ayant toujours pas la télé !

Seulement voilà je viens de refermer une petite merveille de littérature et il me fallait absolument vous en parler ! Pour changer un peu, après une ventrée de Bit-lit (et parce que je commence à avoir tout lu chez Milady), je me suis dite : tiens et si j’ouvrais ce bouquin de Science-fiction en anglais que l’on m’a offert en novembre dernier ?

Alors voilà il y a quelques jours j’ai ouvert The Host de Stephenie Meyer (Les Âmes Vagabondes en français) et après un démarrage un peu lent où je m’endormais après un chapitre, soit 5 pages à peu près (ça faisait longtemps que j’avais lu un bouquin en anglais) j’ai eu beaucoup, mais alors beaucoup de mal à le lâcher !

Cette petite merveille situe son histoire sur une Terre envahie par des aliens parasites qui vivent dans des corps humains. Ils ont déjà conquis la planète, du coup, tous les humains ont été éradiqués, car les aliens ont pris notre place dans nos corps et ont complètement effacé les êtres humains, qu’ils trouvaient beaucoup trop violents. L’histoire commence avec Wanderer (Vagabonde en français) qui vient d’être implantée dans le corps de Mélanie pour vivre sur cette nouvelle planète, la Terre. Wanderer est une légende pour son peuple car là où les Âmes (les aliens) ne vivent que sur deux, au maximum trois planètes, Wanderer en est à sa neuvième. A son réveil Wanderer est déroutée par la force des sentiments humains, dans toutes les vies qu’elle a vécue rien n’était aussi fort. Mais le plus étonnant c’est que Mélanie n’a pas disparu. Wanderer apprend donc à vivre avec Mélanie et ses sentiments et attend patiemment que celle-ci disparaisse. Car les humains finissent toujours par disparaitre. Mais voilà le temps passe, et Mélanie ne se calme pas. C’est pire même, elle se renforce car elle protège un secret au fond même de sa personnalité. Alors elles apprennent toute deux à vivre ensemble, dans un même corps. Jusqu’au jour où Wanderer prend le parti de sa compagne et décide de la protéger, elle et son secret.

Alors voilà j’espère que ce pitch vous fait rêver car il devrait. On suit donc l’histoire de ces deux personnes qui cherchent à trouver leur place sur cette planète malgré le fait qu’elles appartiennent à deux camps ennemis. Bon, qui dit Stephenie Meyer dit histoire d’amour. Oui mais non. Ce n’est vraiment pas le centre de l’œuvre, ici l’histoire d’amour (ou plutôt les histoires d’amour) servent de moteur, de déclencheur à l’intrigue. Le sentiment d’amour en général éprouvé par Wanderer, mais aussi par Mélanie, leur permet d’avancer et de choisir leur vie, et leurs histoires ne constituent pas l’intrigue principale. Car l’intrigue principale n’est pas « comment sauver la planète ? » ou encore « comment les petits hommes verts sont vraiment méchants et les humains vraiment gentils ». Non, l’intrigue plus fine, plus complexe que ça et invite vraiment à réfléchir sur notre humanité et comment elle est perçue. Elle invite au même genre de réflexion qui Les Robots d’Aasimov. Oui, je sais là je compare The Host avec un mastodonte de la science-fiction, mais je m’en fous, c’est mon blog, je dis ce que je veux !


Quant à la narration, comment vous dire …… pour vous donner une idée : le soir je me couchais à point d’heure, je l’ouvrais le matin quand j’avais 10 min d’avance, le midi et me foutais en retard pour retourner au boulot, le soir en rentrant, et si je pouvais je l’aurai amené au bureau. En gros je ne l’ai pas lâché.


Si après vous n’êtes toujours pas décidé à l’ouvrir, et bin j’ai envie de vous dire que vous ne savez pas ce qui est bon pour vous.

Ah une dernière chose, ne vous inquiétez pas, on est très loin de Twilight !

Allez, au revoir et à la prochaine merveille qui me tombe dans les mains !